Le choux Kale est un légume "tendance" qui a pour principal avantage de durer tout l'hiver. Il suffit d'en prélever quelques feuilles pour réaliser un bon repas, le choux se regénérant de lui même.
dimanche 29 novembre 2020
Soupe au choux kale !
mardi 17 novembre 2020
Au bonheur des potimarrons !
Ces quelques années de jardinage m'auront appris à prolonger la saison d'autarcie, en privilégiant la culture de certains légumes d'hiver plus tardifs ou plus faciles à conserver.
Même si la culture de potimarrons occupe une place conséquente dans les parcelles l'été, ce légume d'automne est vite devenu incontournable, tant la version soupe, gratin ou tarte constitue un enchantement des papilles.
De temps à autres, je choisis un potimarron :
Que je découpe en fines tranches après l'avoir lavé (attention pas de gaspillage, la peau du potimarron se mange, contrairement à celle du potiron) :
dimanche 15 novembre 2020
Récolte de topinambours !
Le topinambour est un légume ancien mal aimé et cela s'explique. Pendant la guerre 39-45, les allemands réquisitionnaient les pommes de terre, ce qui fait que nos aînés se sont largement nourris de ce légume racine... jusqu'à l'overdose.
Il a pour avantage de ne nécessiter aucun travail. Il suffit d'en mettre quelques uns en terre, et chaque année il en reviendra. Aucune taille, aucun entretien, aucun arrosage... il pousse tout seul ! C'est le bonheur du jardinier ! En revanche il peut s'avérer légèrement envahissant donc il convient de faire attention lorsqu'on jette ses épluchures au compost.
A partir du moment où sa longue tige fleurit, il peut être ramassé. Généralement en octobre, novembre, il suffit d'en récolter un pied selon les besoins, la terre se chargeant d'en conserver les autres.
samedi 14 novembre 2020
Jointoiement du puits
Comme les joints du puits partaient à la force du doigt... il devenait urgent de faire quelque chose !
Profitant donc de la température clémente (15° en novembre, on ne va pas plaindre) et pariant sur les quelques jours d'acalmie prévus juste pendant mes vacances... au boulot !
Première étape : un burin, un marteau et on enlève les vieux joints (on tape un peu plus fort sur ce ciment immonde que quelqu'un a eu la mauvaise idée d'apposer). Une brosse métallique afin d'enlever l'excédent de sable ocre qui semble soutenir les pierres.
Deuxième étape : mélange d'un mortier de chaux, de ciment, de sable et d'eau de pluie... (heureusement que j'avais ça en stock en plein confinement !).
Troisième étape : Jointoyer ! Et là, il faut choper le coup de main... le plus facile me semble donc de prendre deux truelles, une plus large pour prendre le ciment, l'autre plus fine (appelée fer à joint) pour faire passer dans les joints à l'horizontale et appuyer sur ceux ci pour égaliser. Petit conseil : mettre le bac à ciment en dessous la zone travaillée... car il en tombe beaucoup ! Faut pas gâcher !
Quatrième étape : lorsque cela a commencé à sécher... nettoyer les joints et les pierres avec une brosse... l'excédent tombera.
Cinquième étape : nettoyage de la zone et des outils... sinon ça fait cracra !
Le mortier de chaux permet d'imperméabiliser les joints. Contrairement au ciment, cela ne se fissure pas. Et surtout cela fait beau !
Côté lien social, quand vous faites ça, vous attirez tous les bricoleurs du coin qui viennent papoter, vous encourager ("saine activité") ou vous apporter quelques conseils ("mmh, faut tout enlever et tout refaire... bon courage !). Quatre heures sur un pan de mur... je n'ai pas fini !
mercredi 11 novembre 2020
Peinture naturelle pour la porte en bois du puits !
Après avoir fait rénover le toit du puits, il importe désormais de prendre soin de ses "atours" et de les mettre en valeur...