jeudi 29 novembre 2012

Lithothérapie... chouette un nouveau mot !

Comme j'hallucine toujours dans ce travail, je n'ai pu empêcher un client de m'offrir deux pierres (qu'il a pour deux sous mais sur lesquelles il fait une superbe marge!) afin me remercier de ma gentillesse et me protéger des mauvaises intentions...


Après une petite recherche, cela s'appelle la lithothérapie (pour "lithos" signifiant en grec pierre, et "therapeia" signifiant cure), terme que wikipédia définit comme une médecine non conventionnelle par le biais des cristaux qui émettrait une énergie fine sur le corps.

A droite l'oeil de tigre... rien que le nom est beau ! A porter  sur soi, c'est une protection contre l'influence des autres... entre autres propriétés (calme les nerfs, renforce le foie, freine les bactéries, retourne les sorts, chasse les ondes négatives, aiguise l'intuition...).

A gauche la labradorite, sorte d'écran ou bouclier protecteur (absorbe les énergies négatives, les maux, les peines d'autrui, développe l'autoguérision, stimule la circulation sanguine, soulage les rhumatismes, repose lors des grandes fatigues physiques et intellectuelles...).

Le rituel impose un lavage assez controversé des pierres qu'il convient de recharger car elles deviennent ternes si elles sont amenées à servir.

Du coup, je me suis souvenue que j'avais une jade autour du cou (laquelle soigne les reins et le conduit urinaire, fortifie le coeur, l'appareil circulatoire, le système nerveux... atténue les migraines, procure un sentiment de paix). La jade incarne les cinq vertus cardinales (charité, modestie, courage, justice, sagesse) et symbolise le yang.

Ainsi parée de toutes ces protections, une heure après, une nana me rentre dedans en voiture... choc heureusement sans conséquence !!!

A considérer selon le verre à moitié vide ou à moitié plein... protection limitée ou au contraire extrême... cela aurait pu être pire ! De toutes façons... la question ne se pose pas, je n'avais pas eu le temps de purifier les pierres !

samedi 24 novembre 2012

C'est le moment de planter l'ail !

M'ayant fait passer le message que c'était le moment de planter l'ail... je me suis exécutée !
Après avoir recherché quel type d'ail était susceptible de pousser en Bretagne, a priori l'ail blanc, et comme j'en avais quelques gousses... au travail !

On sépare les caïeux... c'est ça :


On ameublit la terre déjà bêchée, on trace des traits et on place les caïeux tous les 15 cm environ.
On plante ensuite pointe vers le haut en veillant à laisser dépasser légèrement la tête.
L'ail n'étant pas très exigeant, sur le papier... ça semble facile !
Trop d'eau risquant de le faire pourrir... et la terre étant déjà humide, je préfère ne pas arroser.
A voir dans quelques semaines si ça pousse.

Etagère : destination finale !

J'en étais restée à la rénovation de l'étagère ... la voici désormais installée dans l'atelier !


Trois mèches, de l'huile de coude, et quelques équerres plus tard : mon père a scellé définitivement son destin !

Installée pour y rester !
Ma collection de graines est mince, mais c'est déjà mieux que rien !

Premier feu !!!!

Un léger problème d'ordi m'a empêché de poster ces derniers temps, mais je reprends !

Le ramonage ayant (enfin !) eu lieu, et la provision de bois patientant depuis deux mois... je n'ai pas attendu pour faire le premier feu ! Sauf que... si j'avais l'expérience des barbecues... je n'avais pas trop  l'habitude des feux destinés à durer... bref... un peu de papier, du petit bois, des bûches, et voilà :


Le chat a regardé cela très intrigué mais n'a pas quitté les lieux. Ca sent bon ! Ca chauffe ! C'est bonheur !

Je vous passe le fait que j'ai regroupé les cendres, et vérifié 20 fois que tout était bien éteint avant d'aller me coucher ! Il va falloir s'habituer !



mercredi 7 novembre 2012

Rhubarbe'land

Mes parents m'ayant donné un plan de rhubarbe qui ne s'épanouissait pas chez eux... je l'ai accueilli du mieux que je pouvais en le replantant au plus vite et en organisant un apéro'party façon terreau et eau de pluie !

J'avais choisi son emplacement depuis un moment sachant que cela s'étend généreusement, bref un spacieux petit coin mi soleil mi ombre, protégé du vent ! Restait plus qu'à creuser !

Et voilà la bête, qui fait un peu la tronche ! Mais ça ira mieux demain :



Reste à pailler, pour la protéger de l'hiver ! Et à moi les confitures, tartes et compotes !

Au passage, j'ai appris qu'on pouvait faire du purin de rhubarbe en faisant macérer 72h ses feuilles hautement toxiques afin de luter contre les pucerons !
A défaut d'orties, j'aurai donc la rhubarbe !



lundi 5 novembre 2012

Décapage de la peinture pailletée

Dans le corridor, il y a une espère de peinture pailletée qu'à la première visite j'avais prise pour de la tapisserie, mais manque de pot, ça ne s'enlève pas comme de la tapisserie !

Cela ressemble à ça :


Cette "chose" a été posée à même le plâtre et se détache par endroits.
Après quelques recherches sur le net... les professionnels suggèrent de poncer paillettes et inégalités, de reboucher et de repeindre le tout. Sauf que les précédents propriétaires ont apparemment tenté l'expérience et que tous les endroits rebouchés semblent encore plus faciles à détacher, le plâtre paraissant désormais "allergique" au contact de la "chose"!

J'ai un peu tout testé... ponçage mais il reste une fine couche de cette peinture, décapeur thermique mais cela fait fondre la peinture et si je gratte, ça s'étale... côté produits chimiques, rien ne semble à la hauteur d'après ce que j'ai pu lire... même s'il reste l'option du fixateur.

Dès lors, si je veux quelque chose qui ne parte pas en miettes d'ici quelques années, il va falloir tout mettre à nu, reboucher, lisser, poncer et peindre avant tout autre chose (peinture définitive ou tapisserie).

Alors là, on s'équipe :


Aspirateur eau et poussière de la mort qui tue... échelle de peintre, masque, lunettes totalement stylées,  autrement dit "hype", "cool", "swag" voire "chanmé", que même Lady Gaga n'en a pas... faut dire... 5 euros chez Casto... "pas assez cher ma fille" ! Et on attaque à la spatule... en tentant d'arracher le minimum de plâtre au passage ! Et ça c'est pas gagné !

Bref... même si je réserve cela aux jours pluvieux... j'en ai pour pas mal de temps !
Evolution à suivre, sur ce même post !

Parce qu'il faut bien se lancer... j'ai décidé d'enlever grossièrement le gros qui s'effrite naturellement, puis je ponce, je nettoie au St Marc et je mets de l'enduit de rebouchage. Le résultat accroche bien, et le tout est net... il faudra à nouveau poncer et réenduire jusqu'à perfection avant de mettre l'enduit de lissage puis la peinture et la tapisserie !

samedi 3 novembre 2012

Opération rempotage !

Comme on m'avait offert deux magnifiques buis lors de la pendaison de crémaillère... restait à dénicher chaussure à leur pied, ou pot à leurs racines !

Et voilà le travail ! Dans les tons ardoises pour rappeler qu'on est bien en Bretagne et s'harmoniser avec euh... le toit ! Sans faire trop bourgeois non plus... c'est quand même la campagne ici ! 

Avant :


Après :


Moi, j'aime bien ! C'est sobre !
Oui oui... je l'avais pourtant arrachée, mais elle est de retour... la mauvaise herbe derrière le paillasson s'incruste dans le paysage !

Et comme la Bretagne ne serait pas la Bretagne sans hortensia... je continue sur ma lancée !
On m'a offert hier un superbe hydrangea "sunday fraise"... non, non, je vois d'ici les gourmands se pourlécher les babines, mais ce n'est pas un dessert glacé, c'est ceci :


Le plus délicat est de trouver l'endroit où il va s'épanouir en toute quiétude ! On évite le sud, et les rayons brûlants du soleil de midi... heure du soleil bien sûr... et on le protège des éléments, contre un mur à l'est c'est l'idéal !

On creuse un grand trou de trois fois sa taille, on ajoute généreusement de la terre de bruyère... mieux vaut plus que moins, les 20 L y sont passés !



Espérant qu'il s'épanouisse et cache à l'avenir le mur en parpaings !
Au passage, j'ai appris la différence entre feuillage caduc (les feuilles tombent l'hiver) et persistant (qui demeurent). En l'espèce, cette variété est de feuillage caduc, mais ça change des gros bons hortensia massifs. D'ailleurs, je lui donnerai peut être pour voisins des petits frères d'autres variétés et couleurs à l'avenir !