samedi 31 mai 2014

Récolte des petits pois !

Ils grandissent, enflent et je commence à les ramasser au compte goutte !
C'est un plaisir d'en faire découvrir la saveur, tout juste sortis de leurs cosses, aux jeunes et moins jeunes qui viennent me rendre visite. Leur croquant vert et légèrement sucré est toujours une surprise.


Plantés en godets le 18 février, repiqués le 1er mars, cinq tuteurs reliés par un léger fil de fer, les ont convaincus de s'élever... s'accrochant les un aux autres, ils font désormais plus d'un mètre et fleurissent encore.
Protégés du vent par les claustras, l'emplacement semble leur plaire !


D'autres ont été plantés directement en terre le 3 mai, histoire de comparer leur progression, goût et besoins en eau et soleil.

vendredi 23 mai 2014

Epanouissement des rosiers !

Les roses sont abondantes cette année, ce qui permet de constater que les travaux de l'an dernier ont été utiles ! Un traitement au savon noir allongé d'eau a été nécessaire pour les sauver des pucerons... du coup, elles me le rendent bien !



         Le rosier grimpant fuchsia                                     Le rosier rouge de l'entrée




Le rosier sélectionné et sauvé l'an dernier
il s'avère être rose pâle et pourra bientôt retomber en pluie
sur le pied parasol

mardi 20 mai 2014

Au lit, les poules !

Douze jours après leur arrivée... enfin... les poules ont trouvé le chemin du poulailler pour se coucher.

Première erreur de ma part... je ne les avais pas cloîtrées pendant 48h dans le poulailler à leur arrivée, afin de leur faire comprendre... que leur maison, c'était là ! Il faisait tellement beau, que je n'avais pu me résoudre à les enfermer... 

Chaque soir, lorsque je décidais de les coucher... la course poursuite commençait... et durait... durait... durait... environ 30 minutes pour coucher trois poules ! Sans compter que la première fois, il a fallu que je réitère l'opération, puisqu'elles avaient eu la bonne idée de redescendre !
Ce fut ma seconde erreur : Mon horaire n'était pas celui des poules... eh oui... les poules se couchent avec le coucher du soleil et pas avant... dès lors je pouvais toujours courir !

Onzième jour, je décide d'attendre le coucher du soleil, afin de voir si, d'elles mêmes, elles rentrent se coucher... peine perdue, puisque je les retrouve lovées les unes sur les autres sous le poulailler.

Douzième jour et après avoir fait quelques recherches sur le net... j'apprends qu'elles peuvent craindre l'obscurité et que le poulailler est peut être un peu sombre. Je décide de rester dans l'enclos afin de surveiller leur coucher. Elles ne trouvent rien de mieux à faire que de s'installer sur mes jambes à la recherche de câlins... 



Quand soudainement, Semoule (la blanche dominante) se lève et se met à piailler de manière inhabituelle : de petits cris aigus et insistants. Les autres lui répondent sans bouger, puis tout le monde s'agite... se dirige vers le poulailler... regarde la porte d'en bas... revient vers moi en piaillant comme pour dire "ben alors, c'est l'heure, on veut pioncer nous!"

Je pense alors à mettre une lumière afin d'éclairer l'entrée du poulailler qui semble les inquiéter. J'attrape une loupiote solaire et la dépose dans l'entrée du poulailler. Canaille (la rousse) s'élance, escalade trois barreaux de l'échelle, regarde les autres qui piaillent à tue-tête, puis après quelques hésitations, redescend... 

Bagheera (la noire) revient vers moi, je l'attrape et l'aide à monter l'échelle... elle s'installe dans le poulailler. J'attends que les autres la rejoignent. Cela piaille toujours en bas ! Semoule s'élance en volant, puis monte les derniers barreaux sans hésiter, suivie de près par Canaille...

Mission accomplie... désormais, la loupiote signifiera... "AU LIT" !

Piou ! Dure, la vie de maman poule !

Quatorzième jour : toutes seules, comme des grandes...

Chuuut ! C'est l'heure de dormir !

dimanche 18 mai 2014

Infirmerie pour oiseau blessé !

Comme si cela ne suffisait pas d'avoir adopté trois poules... voici que maintenant un oiseau semble avoir atterri dans le jardin, sans être en mesure de repartir !

Aucune trace de blessure, il marche et semble capable d'ouvrir ses ailes... sauf qu'il ne décolle pas...
Je l'ai mis à l'abri des chats du quartier, le temps qu'il se remette de ses émotions, et soit à nouveau en mesure de voler...

Cela ressemble à un pigeon ou une palombe (j'ai un doute vu son bec très droit, non effilé et sa queue noire et relevée) :


Il semble boire et se nourrir : je lui ai mis de l'eau et des graines du mélange pour poules. Je vais tenter de lui fabriquer un perchoir demain, afin d'améliorer quelque peu son habitat et le contraindre à un peu d'exercice, néanmoins voici mon problème :

J'ai déjà tenté une fois de lui rendre sa liberté mais je crains de réduire à néant tout début de guérison puisqu'il se débat chaque fois que je le remets à l'abri, ce qui ne doit pas lui faire de bien.

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Pour plus de certitude quant aux premiers gestes à adopter, j'ai envoyé cette photo et demandé quelques conseils à un éleveur de pigeon blogger, lequel m'a gentiment répondu très rapidement. Il s'agirait d'un jeune pigeon ramier.

Voici les premiers gestes à apporter :

- lui donner à boire un mélange d'eau et de thé.
- lui donner des graines.
- vérifier s'il n'est pas malade (fientes collées sur les plumes autour de l'anus)
- vérifier s'il n'a pas une patte cassée.
- vérifier s'il n'a pas une aile cassée en la déployant précautionneusement.
- dans tous les cas, le maintenir au chaud.
- le garder une quinzaine de jours puis le relâcher dès lors qu'il vole sur son perchoir. Il est toujours délicat de relâcher un jeune oiseau habitué à être nourri, donc dépendant.

L'articulation de l'aile semble avoir comme un bleu, mais se déplie sans problème, je vais donc le garder au chaud pendant 15 jours avant de tenter à nouveau de le libérer... parce que sinon, je vais bientôt pouvoir ouvrir un zoo !

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24 mai : Clap de fin. Le pigeon ramier, baptisé Sandro pour sa couleur cendre, s'est envolé alors que je changeais son eau. J'ai craint un moment que son vol plané ne finisse par une chute, mais il est parvenu à remonter, se poser sur le toit du voisin, puis repartir sans hésiter.

Chaque jour, deux pigeons adultes venaient lui rendre visite, généralement le matin et le soir. Très fidèles, les pigeons n'abandonnent jamais un des leurs.
J'aurai appris à reconnaître les pigeons ramiers (leur gorge est rosée) et un jeune d'un adulte (l'adulte a une collerette blanche, et le jeune un bec triangulaire).

J'espère qu'il viendra de temps en temps me dire bonjour.

jeudi 15 mai 2014

Ca, c'est de la fraise !

Première fraise issue de la fontaine à fraises...
 Et de belle taille en plus !


Et la première, je vous le dis... on la savoure...
On en apprécie tous les parfums !

mercredi 14 mai 2014

Hiérarchie de la basse cour !

En l'absence de coq... un groupe de poules se hiérarchise.
L'une d'entre elles devient dominante.
Elle assure le respect des règles de la vie en communauté et défend le territoire de la basse cour.
Même s'il existe toujours des exceptions, il s'agit en général de la plus forte, de celle au plus beau ramage ou plumage, de celle qui a la plus belle crête !

En l'espèce, c'est Semoule (la blanche) qui s'est rapidement imposée...


Il faut dire qu'il n'y a pas photo et que les deux autres, plus chétives, ne font pas le poids...

La hiérarchie étant verticale, c'est ensuite Canaille (la rousse) puis Bagheera (la noire) qui complètent le tableau. C'est d'ailleurs leur ordre de sortie du poulailler chaque matin. Parfois, la dernière est martyrisée et becquetée par les autres (c'est le picage), mais cela ne semble pas être le cas entre ces poules nées le même jour et arrivées ensemble.

Les personnalités commencent à s'affirmer... Sur la photo, toutes trois dormaient dans l'herbe, mais me sentant approcher, Semoule s'est tout de suite levée pour m'observer, prête à défendre le poulailler.



Canaille ne quitte jamais Semoule et si celle ci s'éloigne, elle court vite la rejoindre.
Quant à Bagheera, elle est plus lunaire, elle met un certain temps à s'apercevoir que ses compagnes de basse cour se sont éloignées, et quand elle les rejoint, c'est en sautillant.


Il faut dire qu'un certain prédateur semble vivement intéressé par tout ce petit monde...


dimanche 11 mai 2014

De l'apprentissage de l'échelle !

Semoule et Canaille sont dubitatives... et très peu décidées à utiliser l'échelle pour sortir du poulailler!

- T'en penses quoi de son échelle?
- Ché pas, ça m'inspire pô trop !

Bagheera semble avoir trouvé la solution...

vendredi 9 mai 2014

Baptême des poulettes !

Double baptême aujourd'hui...
D'une part les poulettes ont inauguré leur parcours...
D'autre part, elles ont désormais des petits noms !


La noire s'appelle "Bagheera"... comme la panthère noire du livre de la jungle, note positive car avec son cou dégarni, il ne fallait pas la traumatiser d'entrée avec un surnom péjoratif !
La rousse se prénomme "Canaille", car c'est la plus téméraire et celle qui pique la nourriture dans le bec des autres.
Enfin la blanche est baptisée "Semoule", car elle picore à l'écart de ses congénères et gratte le sol comme si elle pataugeait dans la semoule !


En mode apéro-dinatoire... le cul en l'air !

jeudi 8 mai 2014

Arrivée des trois poulettes !

Les oeufs ne sont pas pour demain... car les poulettes n'ont qu'un mois et demi...
Voici donc une sussex rousse, une cou-nu noire, et une sussex blanche un chouya croisée brahma...

A l'arrivée à la maison après 20 minutes de voiture, encore dans leur carton de transport :


Puis, environ 30 minutes plus tard, un peu plus détendues dans le poulailler, côté pondoir :


C'est parti pour 48h dans le poulailler afin de s'adapter tranquillement à leur nouvel environnement.
Reste à leur trouver des petits noms !


dimanche 4 mai 2014

En attendant les poules !

Les ultimes détails du poulailler sont réglés... il n'y manque désormais que des poules !





Le perchoir a été installé.
Conçu afin de ne pas toucher le sol pour permettre un nettoyage plus aisé du poulailler.
On tire le carton et le tour est joué...




















La fermeture des portes.                                                               L'échelle des poules... à 45°,
                 agrémentée de petits barreaux pour les aider à grimper !

 La poulie qui permet de fermer et ouvrir facilement la porte coulissante.

 La mangeoire, laquelle servait autrefois à cuire des pommes dans les cheminées.
Grillagée afin que les poules ne bazardent pas tout par terre d'un coup de bec.
Protégée de la pluie, car installée en dessous du poulailler !
Repeinte en verte, afin de ne pas dénaturer l'ensemble !
Et fixée à 15 cm du sol pour éviter de nourrir d'autres petites bêtes, 
mignonnes mais indésirables en ce lieu ! 
Faut pas dec' !


jeudi 1 mai 2014

L'érable japonais ou acer palmatum atropurpureum !

Et voici le petit érable, tant attendu, qui doit égayer l'ex haie de thuyas de ses couleurs multiples.
Il ne manque plus qu'à installer derrière lui un oranger du Mexique, afin de pallier sa caducité et le protéger du vent... et l'ex haie de thuyas sera définitivement paysagée.


L'acer palmatum est originaire du Japon, de Chine et de Corée. Il a pour nom "acer" qui signifie "pointu" en latin, car son bois servait dans l'antiquité à fabriquer des lances.

C'est un petit arbre qui peut atteindre 2m, rustique (il supporte -15°), au feuillage caduque, à croissance rapide, fleurissant en avril mai, aimant la mi-ombre, les sols acides, et dont les fruits appelés "samares" sont très décoratifs. Ses fleurs attirent les abeilles, et ses fruits les oiseaux.

De port élégant, ses feuilles dentelées passent du pourpre au printemps, au vert l'été, et à l'oranger ou jaune en automne. Il illumine à lui seul toute une haie.