L'oeillet d'inde : un allier du potager !

J'avais fait quelques semis d'oeillets d'inde en pleine terre... et comme ils sont désormais à maturité, je viens de les repiquer dans le potager afin :

- de mettre une note de couleur au milieu des légumes,
- de protéger les plantations de certains nuisibles.

Associé à la tomate, l'oeillet d'inde stimule la production des fruits et repousse les nématodes des racines.


L'oeillet d'inde est un protecteur du potager... grâce à sa forte odeur, il éloigne les pucerons, fourmis, aleurodes, altises et autres ravageurs.  En outre ses racines développent une substance chimique (la thiophène) qui empêche les nématodes (petit ver qui s'attaque aux racines des plantes) de s'étendre.

Enfin, la plante accueille de nombreux insectes auxiliaires.
Elle a également un effet répulsif sur le liseron et le chiendent.
La fleur est comestible et son goût se rapprocherait du fruit de la passion.
Par ailleurs, elle attirerait les limaces, qui délaisseraient ainsi les cultures.

Reste plus qu'à fleurir !
Et pour l'an prochain : faire sécher fleurs et graines, et les entreposer pour l'hiver.

Le couloir (suite)

J'avais un peu arrêté de poster sur l'avancée du couloir, d'une part parce qu'il n'est pas aisé d'y prendre des photos, d'autre part, car la progression se mesure difficilement à l'oeil nu... blanc sur blanc... c'est à s'y méprendre !

Néanmoins, afin de ne pas me lasser, je poursuis les travaux petit à petit ! Les week end de pluie, c'est couloir ! Le soir n'étant pas idéal, car je peaufine actuellement les détails, donc il faut y voir clair !

Petit rappel des étapes effectuées :
- A la base, de la peinture pailletée bleue... grattée, lessivée...
- Recouverte d'enduit de rebouchage (pour ôter le relief et masquer les trous), puis de lissage...
- Le plafond dont les fissures ont été poncées puis rebouchées également

Puis après ponçage, égalisation, re-ponçage, et perfection des angles et arrêtes... une petite couche d'apprêt afin d'étudier l'évolution de la peinture sur le support...

Voici donc, ce que cela donne pour le moment  :

 

Sachant que j'ai dû trouver une solution pour certains murs qui absorbaient l'enduit de lissage (malgré une bonne réaction à l'enduit de rebouchage), ce qui m'a contraint à poncer, égaliser, réenduire par zones et re-poncer ! Puis attendre pour vérifier que tout cela se stabilisait bien !

J'approche doucement des 200 h de boulot sur ce seul couloir et c'est loin d'être fini !
Sans compter le plus chiant !!! Le nettoyage !!!

Cueillette des fraises !

Je n'avais pu photographier les premières fraises, mais nouveau téléphone = nouvel appareil photo, lequel semble bien mieux par ailleurs.
Voici la récolte du jour, sachant que pour l'instant, c'est environ 10 par jour ou tous les 2 jours...

Dessert assuré pour l'été !

Plant de courgette

J'avais replanté un pied de courgettes que Môman m'avait achetée et qui évolue ma foi assez bien.
Hybride F1... je sais ce n'est pas bien, mais on ne choisit pas les cadeaux ! J'ai néanmoins également planté des rondes de Nice, non hybrides.

M'interrogeant sur la possibilité de manger la fleur (en salade ou beignets), il semblerait que la courgette fasse deux fleurs, des femelles qui donnent la courge, et des mâles stériles, que l'on peut manger. Il est conseillé d'ôter les tiges mâles qui pompent l'énergie du plant. Néanmoins, les hybrides ne produiraient que des femelles, ce n'est donc pas demain que je vais les reconnaître ! Après y avoir regardé de plus près... les hybrides produisent bien des fleurs mâles... on les reconnaît à des tiges fines et droites, tandis que les femelles ont un renflement... future courgette... à la base de la fleur.

La future courgette qui apparaît !

Miam !

PS : Précision, la courgette n'est pas un légume mais un fruit, parce qu'elle contient les graines de la plante.

Les photos datent également un peu.

News du potager !

J'ai un petit problème de portable, qui fait appareil photo, donc les photos datent un peu. Je n'ai ainsi pas pu prendre en photo ma première récolte de fraises !
Mais je continue à bêcher, planter et regarder pousser...

Radis

Noisetier

Haricots verts (3)

Haricots verts (1)

Haricots jaunes (2)

Framboisier (qui peine à reprendre).

Plant de tomate yellow pear.

Haricots mange-tout à peine visibles.


Plants de potimarron (2) espérant qu'ils aient assez d'espace, mais il devenait urgent que je les repique.
Issus des graines récupérées cet hiver.

Oui, je sais, il reste du boulot :(

Fleurs de juin !

La pivoine arbustive, idem en herbacée, rose                                             Les pensées

Campanule à feuille de pêcher

Les roses  incontournables                                                                      Le jasmin qui embaume

Hortensia grimpant                                                                      Clochettes violettes : campanules

J'étais un peu déçue du peu de fleurs en mai, à travailler et réorganiser... mais juin prend le relais, autant en senteur qu'en floraison ! Ouf !

Destruction d'une souche au lait ribot !

Comme j'ai une haie de thuyas dont je ne sais pas encore comment me débarrasser, je vais tester deux moyens bio d'aider une souche à se décomposer. Autant en nourrir la terre ! Certains mettent de l'acide, moi ça ne me tente guère !

D'une part, le lait ribot (on perce la souche, on y incorpore le lait, et on ferme le tout avec un plastique tenu par un élastique), et si ça ne fonctionne pas, je testerai les gousses d'ail (on perce la souche, on y incorpore l'ail et on referme les trous avec de la pâte à bois).

En arrivant, un arbuste avait été coupé pour dégager le puits, mais la souche n'avait pas bougé depuis 9 mois, voire menaçait même de repartir, puisque de jeunes pousses commençaient à fleurir un peu partout.

J'ai donc scié les jeunes pousses et les parties les plus tendres.

J'ai pris une perceuse, y ai mis la plus grosse mèche, et percé environ 6 trous d'une profondeur de 8-10 cm.

J'ai incorporé le lait ribot... avec une seringue ou un entonnoir pour les endroits les moins accessibles.

Puis, recouvert le tout d'un papier film tenu par un élastique, afin que la pluie ne dilue un peu trop le tout.

Il conviendra de mettre régulièrement du lait, mais vu que ce breuvage est un incontournable de la région, il ne devrait pas faire défaut !

 

       Affaire à suivre !

Les plantes officinales !

Je n'ai pas résisté très longtemps en fait... et j'ai craqué pour trois plantes dites "officinales", en d'autres termes qui au delà de leur utilisation culinaire... "font du bien" !

Le romarin :

- traite les troubles hépathiques et gastro
intestinaux.
- soulage les troubles rhumatismaux et de la
circulation sanguine.
- c'est un antiseptique léger.
- il soulage les maux de tête.
- il améliore la mémoire.
- il fortifie les convalescents.
- il combat les troubles du stress et de la fatigue.
- il traite les inflammations des voies respiratoires
et de la sphère ORL.

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La sauge officinale :

- riche en antioxydants et en vitamines K.
- elle tonifie la mémoire et serait efficace contre la maladie d'Alzheimer.
- elle soulage les bouffées de chaleur.
- elle apaise les ballonnements.
- elle adoucit la gorge.
- elle calme l'herpès labial
- elle est cicatrisante.
- elle favorise l'hygiène buccale.

3 feuilles dans du lait chaud stoppent un rhume naissant.

La verveine citronnée :

- elle éloigne les moustiques.
- elle aide la digestion.
- elle favorise les fonctions de la peau.
- elle a un effet tonique et décongestif sur la circulation veineuse (jambes lourdes, varices...)
- c'est un léger sédatif.

En infusion : 5 ou 6 feuilles suffisent !

Essai de plessis !

Comme je devais tailler le forsythia... et que les branches me semblaient souples et longues, l'idée de réaliser un petit plessis m'est venue... histoire de mesurer un peu la difficulté de la tâche, les choses à éviter etc, avant de faire éventuellement de même avec les branches de pommier plus tard (même si le châtaignier imputrescible est plutôt conseillé).

A gauche, les longues tiges de forsythia écorcées (par pur esthétisme), à droite les futurs piquets en lilas, également écorcés, mais cette fois pour éviter qu'ils ne reprennent vie par la suite.

On plante les quatre piquets et on alterne le croisement des branches autour de ceux ci... le tout tient tout seul... à voir maintenant comment cela vieillit !

Sélection du rosier grimpant !

A mon arrivée, il y avait un rosier mort dont le tronc mesurait presque 5 cm de diamètre. Il avait donc fallu le couper, récupérer le bois pour le brûler... et j'avais depuis lors laissé grandir les jeunes pousses, me disant que le moment venu, je sélectionnerais la plus vigoureuse !

Et voici la gagnante !

Il était temps de faire un choix, car à force, un buisson touffu encombrait bien ma pelouse ! Je lui ai donc fait un peu d'espace afin qu'il s'épanouisse en toute quiétude !

Le poteau vert correspond à une armature en fer type parasol et quand petit rosier sera devenu grand, il  retombera gentiment !