Poulailler (4) : fixation de la structure !

Voici qui ressemble déjà plus à un poulailler ! 

Pas de difficulté majeure rencontrée. Pour le moment, tout paraît stable et correspond au plan !

Le plus difficile est fait... enfin théoriquement !

Poulailler (3) : fixation de la base !

Doucement mais sûrement, le poulailler prend forme.

Fixation de la base réalisée à partir de deux palettes recyclées. Le but est de monter le poulailler en hauteur, afin d'éviter aux poules une trop grande proximité avec d'éventuels prédateurs, ou une humidité stagnante. Il aurait pu être moins haut, mais tout à hauteur (de femme)... c'est méga moins fatigant !

Restent à monter les roues, récupérées sur un socle en plastique découpé afin de réaliser un poulailler mobile. Le plancher sera fixé à cette base.

Deux roues fixes et deux roues mobiles directionnelles. Roue de gauche avec frein intégré... quitte à faire dans le luxueux...

Opération mauvaises herbes !

Un après-midi ensoleillé et presque chaud signifie... entretien du jardin !

Et comme j'avais quelque peu délaissé les plantations sous châssis, je m'y suis attelée ! Puis j'ai laissé la chaleur du soleil faire son boulot, avant de refermer les châssis à la nuit tombée... on se serait presque cru en mars !

Restent donc plantés : les fraisiers qui seront transvasés dans la fontaine à fraises (à construire) fin mars, j'ai besoin des châssis pour préparer les semis du potager à venir !
5 rangs d'épinards, 3 rangs de mâche (que je croyais perdue mais en réalité recouverte de mauvaises herbes), un rang de brocolis (une seconde dégustation va bientôt être possible), et deux rangs de radis.

Ce n'est pas Byzance, mais cela fournit quelques légumes verts pour la soupe !

Une organisation militaire va s'imposer afin de ne pas rater semis et transplantation !

Poulailler (2) : assemblage du plancher des poules !

Après ponçage, chaque planche a été passée au xylophène puis peinte avec de la lasure verte... petit souci de peinture, mal mélangée, qui a donné plusieurs nuances finalement assez sympa :

La partie surélevée au fond sera allongée et correspondra au pondoir, tandis qu'un perchoir sera installé dans la partie plane :

Tout en bois de palettes... suivant ces plans. La largeur correspond à celle d'une palette, afin d'éviter trop de découpes.

Cela prend forme !!!

Démontage de bois de palettes

Afin de construire le poulailler... il me fallait du bois et le choix s'est porté sur du bois de palettes à usage unique, non traité... vu qu'il m'était donné gratuitement.

Cela nécessite néanmoins de l'huile de coude pour récupérer les planches sans les casser.

L'outillage est assez facile à se procurer : un pied de biche, une masse, un marteau et un morceau de bois afin de ne pas taper directement sur le bois.

Voici le principe détaillé sur le net (vidéo youtube), sachant que j'y mets personnellement beaucoup plus de temps :

Et voici les planches démontées :

Ensuite reste à reboucher les trous (laissés par les clous) à l'enduit à bois (supportant l'extérieur), puis poncer et peindre le tout.

Le jasmin d'hiver : des fleurs en hiver !

Soucieuse d'une végétation susceptible de fleurir toute l'année, mon choix s'est porté sur un jasmin d'hiver ... planté début novembre à la place des thuyas... il fleurit déjà !

Premier frémissement de la nature,
le jasmin d'hiver se pare de trompettes jaunes de janvier à mars.

Contrairement au jasmin étoilé, il n'a pas d'odeur... mais c'est le plus rustique des jasmins : il supporte
jusqu'à -15°.








Facile à vivre... il peut se combiner en version arbuste, couvre sol ou être palissé... il s'accommode de tous types de sol, supporte le soleil ou la mi ombre. Résistant, peu de maladies lui sont néfastes.

Adulte, il peut atteindre 3 m, mais une taille régulière permet de le contenir, sachant qu'il grandit moyennement chaque année.

C'est actuellement l'unique plante fleurie avec le camélia qui vient de faire sa première fleur !