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jeudi 20 juillet 2017

Le coquelicot, gage d'une terre saine

Le coquelicot est une plante sauvage, éphémère et très fragile. C'est une des premières à disparaître sous l'effet des pesticides... ce n'est donc pas une surprise de le retrouver dans mon potager bio :















Néanmoins, pourquoi n'en avais je pas avant aujourd'hui?

Le net m'a donné quelques éléments de réponse : 
- il pourrait être le signe du réchauffement climatique, or il faut reconnaître qu'il n'a jamais fait aussi chaud !
- il pourrait être menacé par la pollution de la nappe phréatique, actuellement indisponible puisque suite à un arrêté préfectoral de sécheresse, je n'arrose pas même avec l'eau du puits... Si tel est le cas, cela fait peur !

En usage médicinal, les pétales séchés sont utilisés en tisane pour ses vertus sédatives. C'est également un calmant pour la toux, et les irritations de la gorge.

samedi 8 avril 2017

La surprenante Mertensia marítima

Une plante tout ce qu'il y a de plus banal...


Sauf qu'elle a le goût d'huitre...
Riche en zinc, manganèse, potassium et fer. Elle se déguste aussi bien sur une tartine de pain beurré, qu'en accompagnement de poisson ou salade. Ses fleurs se mangent également.
Vivace, caduque, elle atteint 15 cm de haut pour 40 de large.

Elle apprécie les endroits ombragés, sans soleil direct, peut supporter jusqu'à -30°, mais n'apprécie pas d'avoir les pieds dans l'eau.

Et il ne faut pas rêver... ceux qui n'aiment pas les huitres... ne l'adorent pas !
En revanche, limaces, escargots et pucerons en raffolent !

mardi 4 avril 2017

Fleurs, jardinières et agréments !

Profitant d'une promotion, j'ai acheté 3 barquettes de 10 plants d'impatiens, de pétunia et d'ageratum.
Après avoir regardé leur préférence d'ensoleillement, j'ai repiqué tous ces petits plants.

A l'ombre du Lilas, dans un mélange terre et terre de bruyères pour les impatiens, ce qui m'a permis de recycler les pierres retrouvées dans le garage, lorsqu'il avait fallu le vider pour faire la dalle. En jardinières ou directement en terre pour les autres, aimant davantage le soleil.














Voilà, de quoi attirer les pollinisateurs dans le jardin et le potager.

dimanche 25 septembre 2016

Boutures de pélargonium !

Le pélargonium ayant fleuri tout l'été... j'ai décidé de tenter d'en faire des boutures, afin de pouvoir le multiplier l'an prochain, et en profiter sur de multiples fenêtres.


Le principe est simple : prendre une branche ne portant pas de fleur, la couper sous un oeil, enlever les feuilles autres que celles du haut, et repiquer dans un mélange de terreau de semi et de sable humide.

Certains utilisent une hormone de bouturage, mais j'ai préféré tenter sans... puisqu'il parait que c'est le bouturage le plus facile qui soit !


A réaliser avant la chute des températures, car si les racines se forment sous huit jours, elles ont besoin de 15° pour se développer...  le plus difficile consistera ensuite à leur trouver un emplacement tempéré tout l'hiver  et surtout... penser à les arroser !

mercredi 27 juillet 2016

Souci séché = graines à récolter !

J'avais précédemment fait un post sur un allié du potager : le souci.


Une fois la fleur séchée, les pétales fanés et asséchés tombent 
et laissent apparaitre les futures graines :


Ces mêmes graines s'assèchent et avant qu'elles ne tombent, il faut vite les récolter. 
Naturellement, le souci se ressème tout seul, mais si on souhaite maitriser son renouvellement, la procédure s'impose car le souci supporte mal le repiquage.


Les graines de souci sont en forme de croissant de lune :


Il restera ensuite à les stocker dans un endroit sec jusqu'au printemps prochain !

vendredi 17 juin 2016

Pélargonium zonale rose saumoné !

Une cliente ayant déposé cette plante à mon bureau en mon absence (pour me remercier de ma "légendaire" gentillesse!)... je n'ai pu lui demander de quelle variété exacte il s'agissait.


"Ben c'est un géranium" allez vous me répondre...
Certes ! Néanmoins il semble que ce que l'on prénomme indistinctement "géranium" soit en fait un "pélargonium", voire ici l'espèce "pélargonium zonale" au port dressé et buissonnant (celui de la photo n'a qu'un pied).

La distinction, c'est la rusticité. A savoir qu'originaire d'Afrique du Sud, il ne supporte pas une température inférieure à 2°. Son avantage : son feuillage odorant éloigne les moustiques.


Moi qui n'avait jamais trouvé aucun intérêt au dit "géranium", perdant ses feuilles ou s'asséchant trop vite, j'adore ce "pélargonium" qui attire chaque jour mon regard. J'en ferai certainement des boutures, tant je le trouve magnifique.

jeudi 16 juin 2016

Avec le souci, pas de soucis !

Mon premier souci s'est ouvert ce matin :


Tout comme les capucines, le souci est une plante qui repousse les parasites du potager.  Il secrète une toxine qui protège particulièrement les tomates, fraises, poireaux, ail, oignons.
Il attire de nombreux insectes, dont les guêpes parasites et les syrphes qui sont de redoutables prédateurs des ennemis de nos légumes comme le puceron.

C'est une plante médicinale comestible aux milles vertus : en usage externe le souci soigne les maladies dermatologiques, en usage interne c'est un excellent dépuratif du foie et de la vésicule.
Il est aussi connu pour atténuer les douleurs dues aux cycles menstruels.

Le même, trois jours après...
Ses graines arrondies en forme de lune, se récoltent et se ressèment facilement... (celui ci est issu des graines récoltées l'an dernier). En revanche, contrairement à l’œillet d'Inde qui se sème, se repique et peut être déplacé facilement, le souci a tendance à ne pas survivre aux déménagements... je le sème donc directement en place.

dimanche 12 juin 2016

Floraison des capucines !

La capucine est une plante annuelle, comestible, caduque (elle disparait dès les premières gelées), qui se ressème toute seule, de couleur jaune, orange ou rouge, naine ou grande, voire grimpante.


La capucine a la particularité d'attirer les pucerons et les chenilles et d'éloigner ainsi les insectes nuisibles des cultures. J'avais néanmoins hésité avant d'en planter car certains s'en plaignent, mais je la trouve fort utile aux pieds des fèves et des artichauts... à condition d'apparaitre tôt !

Il est assez difficile d'en récolter les graines, ramassées soit trop tôt, soit trop tard, mais après quelques années de jardinage, elles se ressèment toutes seules, ce qui facilite la vie du jardinier qui a toujours autre chose à faire !

Et pour les gourmands, tout y est comestible : les feuilles, les fleurs, et les bourgeons, lesquels conservés dans du vinaigre ont un goût piquant qui rappelle les câpres.
A tester !

samedi 4 juin 2016

Fleurs d'actinidia mâle !

Plantés il y a trois ans, les actinidias ont bien grandi.

A gauche, l'un des deux actinidias femelles, à droite le mâle.

Sauf à disposer d'un plant autofertile, la combinaison des deux est nécessaire pour que les pieds fructifient.

La difficulté consiste néanmoins à faire coïncider les deux floraisons, pour que la pollinisation se fasse.

Or pour l'instant, je n'ai des fleurs que sur le mâle... même si c'est déjà bien !

Voici l'évolution de la floraison :

Tout d'abord, l'actinidia mâle se pare de petites boules type testicules desséchées...

Qui s'entrouvrent et laissent apparaître des pétales blancs...

S'ouvrant eux même sur des pistils jaunes foncés (ceux de la femelle sont plus clairs)...

 Avant de s'épanouir...

Voilà, mon actinidia mâle est devenu sous vos yeux un ado sexué !

dimanche 24 avril 2016

Fleurs d'avril !

Même si les températures ne sont pas encore trépidantes, surtout la nuit... les fleurs commencent à égayer le jardin.

Le cassis fleur est fleuri depuis un mois, et entame la fin de sa floraison.

 



Les iris resplendissent depuis une semaine seulement, et alternent bourgeons et fleurs.









Le céanothe commence à se parer de fleurs bleues

Le bugle tapisse le sol

Les tulipes qui ont résisté à la grêle

Le Berberis Darwin à double floraison est en fleurs depuis près de 2  mois

jeudi 25 février 2016

Primevères acaulis

Je dois avoir hâte d'être au printemps, car je commence à acheter en masse pour le jardin.

Petite offre ruineuse chez Lidl : 1,99 euros les 10 plants, totalement desséchés, car non arrosés dans leur boutique, donc élevés à la dure, ce qui fait qu'ensuite les plants s'épanouissent... du coup, c'est limite club med ici !

Aussitôt replantées en jardinières, histoire d'égayer l'entrée de la maison. Le froid est encore là, mais les primevères aiment et ont même besoin du froid. Même si elles sont protégées sur le rebord des fenêtres du garage, je surveille régulièrement si tout va bien.


Acaulis car elles n'ont pas de tiges, elles partent directement de la base, ce sont des primevères de jardin. D'ailleurs, les quatre derniers plants ont été directement repiqués en terre, côté puits.


Ahlala, que cela fait du bien ! En cette période, le jardinier trépigne d'impatience !

samedi 28 novembre 2015

Fleurs de fin novembre !

 Le Camélia rose qui fleurit généralement mi-décembre est déjà en fleurs, et il est rempli de bourgeons qui laissent présager une abondante floraison.

 Le Jasmin d'hiver est en fleurs depuis près d'un mois

 Les bergénias, épargnés par les poules cette année, n'ont pas fait beaucoup de feuilles, mais compensent avec des fleurs.

 Le gel a épargné les dernières hampes florales du Berberis Darwin, qui termine doucement sa seconde floraison de l'année. La prochaine sera en mars prochain.

La dernière rose a survécu aux fraiches nuits de cette semaine, mais c'est sans doute la dernière de l'année !

Tandis qu'au potager, je n'ai pas eu à cœur d'arracher les œillets d'inde qui agrémentaient l'allée de tomates cet été. Des graines ont néanmoins été récupérées afin de fleurir les allées l'an prochain.

dimanche 23 août 2015

Le tournesol n'a pas besoin d'une boussole !

Voici une photo du premier tournesol qui s'est ouvert ce matin !
Histoire de changer un peu des fleurs habituelles : soucis et œillets d'Inde, mais aussi pour en récolter les graines, j'avais décidé de planter quelques tournesols cette année.


Après une tentative ratée en semi direct, j'ai décidé de les semer en godets, puis de les repiquer ensuite. C'est assez sympa à observer. Tout d'abord la tige grandit et se fortifie, puis des bourgeons apparaissent, grossissent et enfin se penchent à la verticale, avant de s'ouvrir doucement.


Et pour vous donner une idée de sa taille... pas loin de deux mètres, mais certaines variétés atteignent les 4 m !


Afin de grandir vite, la tige du tournesol tourne sur elle même vers le soleil levant cherchant à capter via ses feuilles le plus de lumière possible : c'est le phototropisme ou héliotropisme.

Une fois ouvert, le tournesol a atteint sa maturité et ne bouge plus, même si la croyance populaire veut qu'il suive le soleil.

samedi 4 juillet 2015

Floraison de l'Agapanthe !

J'avais planté deux pieds d'agapanthe, mais il n'y en a qu'un de fleuri... celui situé plein sud, protégé par le mur de la maison. S'il veut s'étendre et remplir le parterre, je lui ferai de la place, car il n'y a rien de plus beau qu'un massif d'agapanthes !

Enfin, avec une seule fleur... j'ai de la marge avant d'être envahie ! Le pied ne fournit en effet qu'un nouveau bulbe par an.

Gros plan sur ma fleur préférée :


Un peu de Bréhat dans le jardin !

jeudi 14 mai 2015

Les fleurs après la pluie !

Comme une idiote, j'ai oublié de les photographier avant la pluie, mais elles sont encore splendides.

Le plant de pivoine, planté en avril 2013, dont j'ai hérité, car il ne fleurissait pas chez mes parents :


Et le vegelia, planté dans l'ex haie de thuyas, le 1er mars 2014. Il croule sous le poids des fleurs, mais je le taillerai cette année afin de renforcer son pied et le faire partir vers le haut :

De gauche à droite : noisetier, céanote, vegelia.

Gros plan sur les fleurs du vegelia, bien appréciées par les abeilles et bourdons !

samedi 25 avril 2015

La lavande papillon !

Mes parents m'ont offert l'an dernier une lavande papillon. Son feuillage a l'avantage d'être persistant.  Même si elle résiste aux gelées (elle supporte difficilement plus de -7°), elle préfère le soleil direct.

De loin, le massif ressemble pour l'instant à la traditionnelle lavande, mais elle peut atteindre 1m à maturité.


Elle porte ce nom, car ses épis floraux se terminent par ce qui ressemble à des ailes de petits papillons posés sur le bout des tiges.


Craignant l'humidité, il faut éviter de l'arroser, et la laisser s'épanouir. Plantée au pied des fraisiers, elle a le pouvoir de repousser les pucerons.

Floraison des azalées !

Les azalées sont de splendides arbustes qui fleurissent au début du printemps, malheureusement pas très longtemps. Leur feuillage est persistant. Elles supportent -10°, apprécient la mi-ombre, et sont des plantes dites "de bruyères" au même titre que les camélias.

La première, déjà présente à mon arrivée, est actuellement toute fleurie. Protégée par les thuyas, elle supporte aisément une terre acide.

L'azalée rose

La seconde, plantée l'an dernier, agrémente l'ex-haie de thuyas et commence à prendre un peu d'ampleur. Au milieu, les crocosmias ont décidé de partager le logement !

L'azalée rouge
L'azalée peut également constituer une belle plante d'intérieur.